C’est la drogue dure de la génération Y et Z, l’héroïne virtuelle qui nous colle aux yeux et nous empêche de dormir.
On est tous devenu FOMO !!
C’est le nouveau terme à la mode et quand on m’en a parlé la première fois, j’ai dit oui de la tête d’un air inspiré, et pour ne pas passer pour une idiote et j’ai vite demandé à Mr Google « qu’est-ce que c’est que cette bête ?»
Et il m’a dit :
FOMO de l’anglais « Fear Of Missing Out » traduit comme « la peur de rater quelque chose » est une sorte d’anxiété sociale caractérisée par la peur constante de manquer une nouvelle importante ou un autre événement quelconque donnant une occasion d’interagir socialement.
Ce virus touche tout le monde, de l’ado boutonneux à la ménagère qui s’ennuie en passant par les cadres de la Silicone Valley et même les spécialistes de la cryptomonnaie.
On est cerné… pire que le chikungunya !
Quels sont les symptômes :
=>Un sursaut à chaque bip de notification
=>Un réflexe psychomoteur du pouce qui clic frénétiquement sur « rafraichir la page » toute les 3 minutes
=>Des sueurs froides à l’approche d’une zone blanche
=>Des crises d’hystérie aiguë en cas de panne de batterie
….
Quand je te dis que ça fout la trouille cette affaire !
Le seul antibiotique sur le marché s’appelle le JOMO
Tu devines que là encore j’ai dit « hum hum » d’un air inspiré et tout à fait dans le coup ; puis j’ai vite demandé à google translate !
JOMO : Joy of Missing Out
En français ça donne « la joie de rater des choses » bref tu as compris le clin d’œil.
L’idée est que se déconnecter permettrait de se ressourcer. Une incitation à retrouver une distance critique nécessaire pour ne pas se faire bouffer par la machine virtuelle, les tutos, les gossips et tous les déballages médiatiques. Une approche idéale pour devenir minimaliste.
Alors plutôt FOMO ou JOMO ?
Mélanie est une de mes plus fidèles abonnées, elle viens de Montréal et souhaite devenir minimaliste. Elle m’aide à modérer le groupe facebook “Les Minimalistes”.
Il y a quelques semaines, elle souhaitait dans sa démarche pour devenir minimaliste, profiter de ses vacances pour faire une digitale detox.
J’ai trouvé l’idée génialissime et elle me dit « sa risque d’être difficile car je suis une FOMO »
Alors, à ton avis, comment Mélanie à fait pour se passer de nouvelles croustillantes pendant plusieurs jours ?
Et bien le mieux c’est encore de lui demander.
1) Bonjour Mélanie, je t’invite à te présenter
Attirée par le minimalisme depuis une dizaine d’années, j’ai découvert le groupe Les Minimalistes, administré par Lucile, il y a près d’un an. J’ai rapidement pris un grand plaisir à partager sur ce groupe, à participer à des minsgames, à se soutenir les uns les autres pour demeurer motivés dans notre démarche minimaliste et à échanger sur les défis rencontrés dans ce cheminement.
Après quelques mois, dans un contexte où les échanges sur le groupe avaient momentanément perdu en qualité, j’ai échangé avec Lucile en privé afin de signaler mes observations. Elle m’a alors proposé de devenir modératrice sur le groupe, ce qui a eu l’effet de nourrir fortement mon adhésion au groupe ainsi que ma démarche minimaliste. Cela m’a engagée encore plus fortement dans cette voie.
2)Pourquoi penses-tu être FOMO ?
Lorsque j’ai lu la signification de FOMO (« Fear of missing out »), je me suis reconnue, tout en sachant que je n’étais pas un « cas grave » ( !). J’avais remarqué déjà dans la dernière année que je passais davantage de temps sur Facebook, et que lorsque je déroulais mon fil d’actualité, je ressentais le désir de tout voir, d’être certaine de ne pas avoir manqué une publication qui aurait pu m’intéresser ou dont j’aurais aimé être au courant.
3)Quels sont les infos, médias … qui te rendent le plus addict ?
Dans mon cas, c’est Facebook, et uniquement ce média. Et je suis bien contente qu’il n’y en ait pas d’autres ! J’ai d’ailleurs identifié la principale cause: ce sont les (fameuses) notifications.
Ces petites pastilles rouges ont un effet incroyable lorsqu’on les voit apparaître quand on consulte notre écran. Elles piquent immédiatement notre curiosité et on se dit, instantanément :
« Qu’est-ce qui vient d’être posté ? A-t-on réagi à ma publication ? Peut-être est-ce un commentaire découlant du mien ? », etc…
Dans certains échanges sur l’utilisation des réseaux sociaux, j’avais lu que la désactivation des notifications était très bénéfique. Mais dans mon « addiction », dont j’étais plus ou moins consciente à ce moment, je ne souhaitais pas retirer cette puissante gratification.
Depuis, j’ai lu des articles sur le sujet, qui expliquent pourquoi les notifications ont un tel impact sur le cerveau. Je comprends donc mieux pourquoi je suis, moi aussi, tombée dans le « piège » de ce renforcement positif.
4) Quand tu te retrouves à « louper » une info importante, quel sentiment te traverse?
Pour moi, manquer une information importante, c’est surtout prendre connaissance d’une publication avec un délai dans le temps et pour laquelle un certain nombre d’échanges ont déjà eu lieu.
Je souhaiterais être dans les premières à réagir, afin de suivre la publication si elle m’intéresse. Et si j’arrive « trop tard », c’est-à-dire lorsque plusieurs personnes ont déjà commenté, je me sens comme si j’avais manqué l’événement, comme si je n’avais pas fait partie du groupe au moment crucial et cela me fait alors ressentir une vague impression d’être à part, moins importante…
Par ailleurs, dans la réalité, je ressens la même chose lorsque je manque une réunion importante au travail ou si je manque une activité familiale.
Je reconnais donc une composante de ma personnalité, qui se rejoue dans mes liens Facebook.
J’ai aussi peur de froisser les gens si je ne souligne pas leur anniversaire ou si je ne commente pas des publications où ils pourraient s’attendre à ce que je réagisse. Encore ici, je reconnais une composante de ma personnalité présente dans mes relations « réelles » et non pas seulement dans mes liens « virtuels ».
5) Et comment le vis-tu ? (tristesse, colère, peur, angoisse …)
Je ressens alors un certain stress, un malaise, mais surtout une pression à « mieux suivre la prochaine fois » pour éviter ce malaise.
D’où l’addiction… J’ai aussi constaté des réactions physiologiques : accélération de mon rythme cardiaque par moments, qui peut peut-être mener à une certaine anxiété.
Elle est de faible intensité, mais elle est insidieuse car elle dure généralement dans le temps, comme une sorte de « bruit de fond » dans l’esprit. La préoccupation « d’aller voir » Facebook me reste en tête et m’empêche d’avoir l’esprit au repos et entièrement disponible au moment présent.
Je reviendrai aussi sur la honte que je ressens quand je « triche » et que je vais sur internet à des moments que je n’avais pas prévus.
6) Qu’est ce qui t’a amené à vouloir te lancer dans une digitale detox ?
Puisque je partais en voyage pour une semaine, je ne voulais pas ressentir cette pression de ne rien manquer, mais je me sentais aussi très hésitante à m’éloigner de FB.
Rationnellement, je ressentais vraiment que j’avais besoin d’une pause, et que j’avais besoin de remettre le compteur à zéro face à Facebook et internet, de changer mon rapport à ce médium. J’étais fatiguée de me sentir sous tension en lien avec ce médium. Mais je ressentais que cela allait me manquer et je n’aimais pas ressentir ce manque anticipé…
Depuis 3 mois, j’avais essayé de mieux gérer mon temps sur Facebook, ce que j’avais passablement réussi (je m’y branchais en moyenne 2 fois par jour, pour des périodes limitées dans le temps), mais je ne parvenais pas à me départir de la préoccupation « d’aller voir » sur Facebook pour être certaine de n’avoir rien manqué.
Ceci faisait en sorte qu’il m’arrivait souvent de « tricher » et d’aller voir rapidement lors de « temps morts » au cours de la journée. Ce sentiment de « tricher » entraînait même une certaine honte. Je sentais que je manquais de contrôle et de volonté, ce dont je n’étais pas fière du tout. Je me sentais donc dans une lutte récurrente contre ce désir pressant d’aller voir…
Ainsi, ce qui me dérangeait avant ma digitale détox n’était plus tellement le temps réel passé sur Facebook, mais la place que cela prenait dans mon esprit et dans ma vie. Je l’exprime ainsi aujourd’hui, mais ce n’était pas aussi clair avant la détox. Je confondais alors la quantité de temps passé sur FB et la pression « d’aller voir » souvent pour ne rien manquer.
Par ailleurs, je constate aussi maintenant que je confondais deux choses : mon investissement personnel dans des voies qui donnent du sens à ma vie (surtout le minimalisme et le zéro déchet) et le fait de suivre activement des publications traitant de ce genre de sujets sur FB.
J’avais la perception que si je manquais une information pertinente sur des sujets qui me passionnent, « j’échouais » dans mon engagement dans ces voies…Je sentais bien que quelque chose clochait dans cette impression, qui était alors très floue et diffuse, mais je ne parvenais pas à prendre le recul nécessaire pour identifier tout cela.
7) C’était une décision impulsive ou as-tu réfléchi aux différentes étapes ?
Je dirais que c’était une décision semi-impulsive… ! Je n’avais aucunement pensé aux étapes de cette détox, mais j’avais réfléchi à mon besoin et j’étais convaincue que c’était la bonne chose à faire, malgré mon hésitation (liée à l’addiction).
Je dois ajouter que Lucile, tu m’as aidée dans cette voie. Je t’avais écrit pour te dire que je serais moins présente sur le groupe dans la semaine à venir, sans être capable de m’engager formellement, face à moi-même, à NE PAS aller sur Facebook DU TOUT. Tu m’as alors mentionné que les voyages sont d’excellentes occasions pour faire une digitale détox… J’ai alors sauté sur ton conseil. J’ai senti que je plongeais, sans trop savoir dans quoi je m’embarquais ! J’ai écouté mon rationnel plutôt que mes émotions.
8) Raconte nous comment c’est passé cette digitale detox
Étape 1
Le plus difficile a été de prendre la décision. Une fois cette décision prise, il y avait déjà 50% du travail qui était fait. Mais il restait aussi 50% du travail à poursuivre.
Dans mon cas, j’avais décidé que ma digitale détox concernait internet et Facebook, mais je n’avais pas complètement fermé mon portable, car ces petits engins nous servent aujourd’hui à tellement de choses : cadrans, notes, calendrier, etc. Mais cela augmentait le défi. J’avais aussi décidé que je consulterais mes mails matin et soir, si jamais on m’écrivait en lien avec la maison (quelqu’un s’en occupait en notre absence) ou mon fils. Mais je n’allais pas répondre ou envoyer d’autres types de mails. Cela aussi augmentait le défi.
Enfin, j’ai choisi de ne pas désactiver mes applications (internet et Facebook). La raison en est simple : je ne suis pas très techno et je n’avais pas envie de m’occuper de les réinstaller par la suite. Sauf que ça aussi, ça augmentait le défi !
J’étais toutefois prête à le relever.
Étape 2
Ensuite, la première journée fut la plus difficile. Le « sevrage » commençait. Je pensais souvent à ce qui pouvait se passer sur FB et la curiosité était très grande « d’aller voir ». J’ai déplacé l’icône de mon application pour ne pas le voir chaque fois que j’ouvrais mon portable pour autre chose. J’ai d’ailleurs conservé cette disposition par la suite. Aussi, je ne gardais plus mon portable à portée de main, ce qui était la première chose à faire.
Les deux premières journées, j’ai eu peur d’être « oubliée » par les gens avec qui j’échangeais le plus souvent. J’étais préoccupée par l’impression de me sentir à part, et j’étais légèrement inquiète. Cette impression a diminué graduellement au fil des heures et des jours pour disparaître complètement après environ 3 jours. L’impression faisait surface uniquement si je voyais mon portable. Lorsqu’il était hors de ma vue, je n’y pensais pas.
Étape 3
Une fois cette étape passée, j’ai été confrontée à voir les autres se brancher. Il y avait des gens autour de moi qui ne faisaient évidemment pas de digitale détox. Chaque fois que je voyais quelqu’un qui était manifestement sur internet ou sur les réseaux sociaux, je ressentais une forte impulsion de le faire moi aussi. La seconde avant de voir la personne, je n’y pensais pas, mais dès que je voyais le comportement, je me sentais soudainement envieuse de cette personne, qui elle, avait accès à cette distraction.
J’ai alors observé à quel point plusieurs d’entre nous comblons les « temps morts », les « moments creux » par de l’évasion sur nos écrans. À l’aéroport, en attendant quelqu’un, lorsqu’on ne sait plus quoi faire, plus quoi dire… Et je pouvais ressentir, à la vue d’autres personnes sur leur écran, l’état agréablement passif dans lequel on se retrouve souvent (mais pas toujours) devant internet et les réseaux sociaux. Un état semblable à celui ressenti lorsqu’on se vautre sur son divan en pyjama. Du confort sans effort. J’enviais chez les autres la facilité avec laquelle ils avaient accès à ce « confort sans effort », ce qui m’a amenée à prendre conscience du fait qu’il est devenu exigeant pour l’esprit de demeurer présent à tout ce que l’on vit…*
Cela m’a plutôt secouée. Pendant des siècles, c’était notre seul et unique mode de vie : être présent, sans autre évasion possible, sauf peut-être un livre… En quelques décennies, nous avons rapidement versé dans l’évasion et la distraction avant tout…
Étape 4
Enfin, j’ai fait un autre constat, qui m’a quelque peu ébranlée. Il m’est arrivé à quelques reprises d’être en présence d’un proche, dans un « moment d’attente », où j’aurais pu échanger, ou simplement demeurer dans la contemplation avec l’autre personne. Mais pour moi, me brancher à un écran n’était aucunement une option. Et je voyais alors l’autre personne, par réflexe, prendre leur portable ou leur tablette et s’y absorber… J’ai alors plusieurs fois perçu que ce comportement m’envoyait le message suivant : ce moment n’est pas important, il ne mérite pas que je lui accorde de l’attention.
Je le vivais alors comme une perte de tout l’aspect précieux du moment présent, qui devenait alors en quelque sorte banalisé, annulé. Et j’étais la seule à y demeurer présente. Je vivais alors de la déception momentanément et il était encore plus exigeant pour moi de rester dans ma voie, dans ma détox.
Je résume donc ma digitale détox en 4 étapes principales :
- La prise de décision ;
- Le « sevrage » qui a duré 2 à 3 jours ;
- Résister à l’impulsion de se rebrancher à la vue d’autres personnes qui sont branchées ;
- Tolérer que mes proches se branchent et délaissent le moment présent auquel je demeure disponible, ce qui empêche un partage.
9) Ce que cette digitale détox a changé ?
Dès mon retour, j’ai supprimé mes notifications à tous mes groupes sauf un ; j’ai gardé les notifications de mon groupe préféré. Cependant, l’icône de mon application Facebook demeure sur une autre page que ma page d’accueil. Ainsi, je ne suis pas fréquemment exposée aux pastilles rouges des notifications. Elles n’ont d’ailleurs plus un effet aussi puissant, qu’avant, lorsque je les vois.
La détox, c’est-à-dire la distance avec internet et Facebook, m’a permis de me « sevrer » littéralement du besoin de les consulter constamment. J’ai pris du recul et je ne me sens plus habitée par la pression « d’aller voir » que je ressentais auparavant.
Facebook a repris une place adéquate dans ma vie, qui n’est pas liée à une pression et à une peur de manquer quelque chose. D’ailleurs, mon intérêt pour suivre mon fil d’actualité a chuté drastiquement. Et je suis davantage consciente de l’ennui qui me gagne, souvent rapidement d’ailleurs, signe que je dois m’arrêter.
Par ailleurs, je ne veux plus que Facebook et internet dictent mes choix et comportements envers eux. Je veux conserver le contrôle sur mon utilisation. Mais pour cela, je considère que ça me demande minimalement 2 choses : demeurer très consciente de l’utilisation que j’en fais et limiter mon utilisation aux moments préétablis.
Enfin, cette expérience m’amène au constat suivant, déjà maintes fois énoncé par des experts :
une digitale détox devrait être quelque chose que l’on fait régulièrement, à inscrire dans une hygiène de vie, afin de conserver une saine relation avec les médias sociaux et internet
Je vais donc faire régulièrement des digitale détox. Et je veux tenter l’expérience quand je ne suis pas en voyage, quand je suis dans ma routine, afin d’augmenter le défi et probablement aussi l’impact.
Merci Lucile de m’avoir permis de m’exprimer sur mon expérience !
Un grand MERCI à Mélanie pour avoir eu la gentillesse de bien vouloir nous partager son expérience.
Si tu souhaites te lancer dans une digital detox, viens nous poser tes questions ou partager tes expériences dans les commentaires.
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Découvre quels sont les pièges que les professionnels du markéting mettent en place pour nous faire consommer toujours plus.
Apprend à dire NON et deviens un consommateur éthique, responsable et fière de toi.
Comment ?
Je réponds à toutes ces problématiques dans le livre:
Minimalisme Moderne : Être plutôt qu’Avoir
Merci Mélanie pour ton témoignage.
Moi aussi je suis FOMO, le pire c’est instagram, je suis dessus toute la journée c’est plus fort que moi.
Je devrais peut être tenter de stopper les notifications comme tu as fait mais c’est dur !!
Bonjour Sarah,
Oui c’est dur, ce ne serai pas un défi si puissant, si c’était facile.
Mais tu verras que cela t’apportera un vrai confort de vie et d’esprit.
Le premier pas est toujours le plus important
Je me suis complètement reconnue dans ton article.
Comme Mélanie je suis FOMO.
Je serai incapable de passer une semaine sans aller voir mes réseaux sociaux, mais je comprend que c’est bien, ça désencombre le cerveau !
Bonjour Alice,
Oui une digital détox est idéale pour désencombrer son cerveau et sa charge mental. Mais ce défi demande une vraie motivation.
Quelle bonne idée j’aim Me tourner moi aussi vers le minimaliste et me reprendre en main financièrement comme tout le reste pour mieux me sentir dans ma peau et de me reprendre en main après avoir tout perdu dans la vie et d’être Sortie d’u Dépression et de rester la a me comtantais de mon isolement par ce que cette vie n’es Pas la mienne tmais comment ? Puis-je vous demander comment vous contacter en privé pour avoir votre aide ? Merci
Bonjour,
Il y a quelques semaines j’ai arrêté facebook et snapchat et bizarrement je me suis rendu compte que ça me servait à rien. Du coup je ne souhaite en aucun cas les retélécharger. J’ai gardé Instagram car je fais de la photo et que je suis des youtubeuses, et d’autres personnes que je souhaite continuer à suivre parce que ce sont des personnes qui défendent des causes importantes.
Et je souhaite aussi faire part que j’utilise mon téléphone 2h grand maximum dans une journée avec appels et sms comprit 🙂
Bonjour Pauline, c’est une très bonne décision. J’ai moi aussi réduit mon temps sur les réseaux sociaux.
Une vraie bouffée d’oxygène !